L’Assemblée de Corse

Le 7 octobre 2012 (www.unita-naziunale.org) [09h50] : Lors de la réunion de l’Assemblée de Corse du 5 octobre 2012, le rapport du Conseil exécutif a été adopté après l’ajout d’amendements importants déposés par le groupe Corsica Libera, parmi lesquels les suivants :

Les élus insulaires ont débattu hier du contenu de la future délégation de service public. Après les péripéties juridiques qui ont conduit à l’invalidation, puis au rétablissement par le Conseil d’État de l’actuelle délégation de service public (DSP) qui pose les conditions de la continuité territoriale maritime entre Marseille et les ports corses, les élus de l’Ile de Beauté ont …

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – L‘Assemblée de Corse a adopté hier soir (vendredi) avec une courte majorité le nouveau dispositif qui s’imposera aux transports maritimes entre la Corse et le continent.

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – L’Assemblée de Corse a adopté hier soir (vendredi) avec une courte majorité le nouveau dispositif qui s’imposera aux transports maritimes entre la Corse et le continent.

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – L’Assemblée de Corse a adopté hier soir (vendredi) avec une courte majorité le nouveau dispositif qui s’imposera aux transports maritimes entre la Corse et le continent.

L’Assemblée de Corse vient d’adopter le rapport – sérieusement amendé – de la délégation de service public sur les transports maritimes entre Corse et Continent qui entrera en vigueur en janvier 2014. Cette DSP d’une durée 10 ans, s’exercera uniquement sur le port de Marseille pour les passagers et le fret, ceux de Toulon et de Nice ayant été exclus …

Je suis convaincu depuis longtemps que la Corse a besoin que lui soient accordés des pouvoirs étendus, garantis et encadrés par la conseil constitutionnel, qui lui permettent dans un certain nombre de domaines à définir et préciser d’élaborer des textes ayant force de Loi sur son territoire.

Selon le président de la commission des compétences législatives et réglementaires, améliorer le statut actuel de l’île n’est pas un gadget politicien, mais une nécessité. Pour pouvoir gérer son destin, la Corse a un réel besoin d’institutions plus efficace.

Monsieur le Président, cher ami, Nous avons pris bonne note, comme vous nous l’avez indiqué, du déroulement en deux temps de la réflexion, qui nous paraît en effet raisonnable dans l’état actuel de l’opinion insulaire.

es électeurs nationalistes et les mouvements dont ils se réclament, pourraient bien être de grands perdants si la « nouvelle architecture » institutionnelle devenait une construction.