L’Assemblée de Corse

Lors du dernier conflit qu’ont connu les CFC, notre organisation syndicale s’est refusée de faire quelque commentaire que ce soit, même si la CGT en attaquant le statut, menait en filigrane une attaque contre le STC.

Le STC, syndicat majoritaire a fait l’expérience de la démocratie à l’usu CGT-PCF. Dans sa dernière conférence de presse, le syndicat national corse constate la remise en cause des négociations satisfaisantes pour la majorité des acteurs syndicaux et politiques :

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – Un offre attractive mais nulle ou une autre techniquement valable mais financièrement inacceptable! Voilà le difficile dilemme qu’auront à trancher l’office des transports de la Corse et son président Paul-Marie Bartoli.

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – L’Assemblée de Corse a donc adopté hier soir (jeudi), à l’issue d’un énième débat sur les arrêtés Miot une nouvelle délibération qui a pris la forme d’un appel solennel au gouvernement.

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – L’Assemblée de Corse a donc adopté jeudi dernier, à l’issue d’un énième débat sur les arrêtés Miot une nouvelle délibération qui a pris la forme d’un appel solennel au gouvernement.

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – L’Assemblée de Corse a donc adopté jeudi dernier, à l’issue d’un énième débat sur les arrêtés Miot une nouvelle délibération qui a pris la forme d’un appel solennel au gouvernement.

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – L’Assemblée de Corse a donc adopté hier soir (jeudi), à l’issue d’un énième débat sur les arrêtés Miot une nouvelle délibération qui a pris la forme d’un appel solennel au gouvernement.

« Vendredi dernier, l’Assemblée de Corse était appelée à formuler un avis sur la loi portant sur le non cumul entre un mandat de parlementaire et un mandat exécutif. Saisie en vertu du statut particulier de la Collectivité Territoriale de Corse, l’Assemblée devait notamment décider si le président de l’Assemblée de Corse devait ou non être assimilé à un organe exécutif …

« Monsieur le Président de l’Exécutif, les cheminots qui sont restés en grève pendant 17 jours ne sont pas des criminels. Si nous sommes rentrés en force dans l’Assemblée de Corse, c’était pour fair valoir des revendications légitimes qui concernent l’avenir de tous les cheminots.

Monsieur le Président, Les imprimeurs insulaires, par la voix du Syndicat professionnel des maîtres imprimeurs de Corse, vous ont alerté au sujet de leurs difficultés qui ne sont pas que des soucis catégoriels puisqu’elles peuvent rejaillir sur le débat démocratique en Corse. Je veux parler du scrutin pour l’élection territoriale.