L’Assemblée de Corse

Sessions de l’Assemblée de Corse sur les sujets sensibles comme le foncier (Padduc, spéculation…), la langue Corse et sa sauvegarde, la santé, l’Arrêté Miot… défendu par le mouvement national dont voici une question orale de Femu A Corsica : 

(Julien Pernici – Alta Frequenza) – Mardi, en préambule du débat et du vote concernant la co-officialité de la langue corse qui commenceront jeudi, Femu a Corsica a réaffirmé sa position de départ, à savoir que sans co-officialité, point de salut pour le corse.

Une délégation d’élus de la collectivité territoriale de Corse conduite par Maria Guidicelli a visité les locaux de la future centrale EDF dont trois moteurs seront en service avant le mois de décembre

(Julien Pernici – Alta Frequenza) – Ce lundi, Maria Giudicelli, la conseillère exécutive en charge du dossier de l’énergie, a visité en compagnie d’élus comme Michel Stefani, Fabienne Giovannini ou le maire de Lucciana José Galletti la nouvelle centrale électrique de Lucciana, dont trois moteurs seront lancés fin 2013, et quatre autres mi-2014.

Maria Guidicelli, conseillère exécutive en charge de l’Energie, accompagnée d’une délégation d’élus et des services techniques de la Collectivité Territoriale de Corse, ont voulu voir et toucher.

À la veille du débat de l’Assemblée de Corse relatif à la coofficialité de la langue corse, Auropa Eculugia I Verdi rappelle que la mise en place d’un statut de coofficialité a toujours constitué en Corse une revendication essentielle de l’Écologie politique, qui se référait à la situation institutionnelle des langues locales de nombreuses régions d’Europe insulaires ou continentales (en …

Le CESC s’est déclaré favorable à la démarche de coofficialité de la langue Corse proposée par l’exécutif.La thématique sera débattue, ce jeudi, lors de la session de printemps de l’assemblée de Corse

L’Agence du tourisme n’est pas l’agence tous risques. Elle se contente juste d’en prendre quelques-uns. Mais les bons. En faisant le siège des grandes capitales, elle impose son plan de vol face à la concurrence.

Ce mardi, en préambule du débat et du vote concernant la co-officialité de la langue corse qui commenceront jeudi, Femu a Corsica a réaffirmé sa position de départ, à savoir que sans co-officialité, point de salut pour le corse. (article Alta Frequenza dans la revue de presse)

Avant la nouvelle session de l’assemblée de Corse des 25 et 26 avril, le conseiller territorial communiste Michel Stefani estime que « la réforme institutionnelle n’est pas la réponse aux maux de la Corse »