L’Assemblée de Corse

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – Le CRDP, le centre régional de documentation  pédagogique qui comme chacun sait est établissement public de l’Education nationale pourrait-il tomber à terme dans l’escarcelle de la CTC?

En apnée économique, la SNCM menaçait de déposer le bilan, dans l’incapacité de payer bientôt les salaires et les factures de ses fournisseurs. Bien qu’elle ait remporté la délégation de service public (DSP) de la Corse, la compagnie est à court de trésorerie.

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – Il y a peut-être le feu à la SNCM, on parle de cessation de paiement, d’impossibilité d’assurer la paie du mois d’octobre, voire d’une calamité encore plus grande, il n’y aura pas cessation du trafic maritime entre la Corse et le continent.

« Elle l’a remercié pour ses messages de soutien lors de notre première rencontre à Corte en juin dernier puis à l’ouverture de la dernière session de l’Assemblée de Corse.

(Julien Pernici – Alta Frequenza) – Ce mardi, Maria Giudicelli, conseillère exécutive en charge du dossier du PADDUC a présenté le volet socio-économique de celui-ci lors d’une séance extraordinaire de la CORECODES.

Invité de l’émission Cuntrastu, le président de l’office des transports de la Corse affronte la tempête de l’actualité. Des transports, à la réforme de la Constitution, en passant par les municipales, il se livre…

(Michaël Andreani – Alta Frequenza) – Énième coup de théâtre concernant le dossier des transports maritimes en Corse. Vendredi dernier, la SNCM, dont la situation financière est au plus mal, a affirmé que la Collectivité Territoriale de Corse lui doit aujourd’hui plusieurs millions d’euros.

Créé par la CTC en 2000, le CMT est aujourd’hui lâché par l’institution. Des voix commencent à s’élever pour que l’association, chargée de collecter des fonds sonores de la tradition insulaire, soit maintenue.

Déclaration de Michel Stefani président de la SAEML :

La SNCM a mis, le 18 octobre, les responsables politiques locaux au pied du mur en réclamant à la Collectivité territoriale de Corse plus de 50 millions d’euros. Une créance que la CTC ne reconnaît pas.