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Le conseiller territorial, membre de l’Exécutif et candidat à la mairie de Bastia , affirme son soutien à Manuel Valls.

L’Assemblée de Corse travaille sur des sujets capitaux: langue, fiscalité, résidence et nouvelles institutions. Jusqu’à présent, l’Etat refuse le dialogue.

Chers amis , Je vous prie de trouver ci-dessous, à titre d’information, une réponse que j’ai faite à une lettre du Préfet Strozda, qu’il m’a envoyée juste avant son départ pour sa nouvelle affectation. J’estime que le temps des demi-vérités ou de l’impunité des mensonges, fussent-ils par omission, est révolue. Mais l’Etat mène délibérément et en particulier sur le terrain …

Le nouveau préfet de Corse a officiellement pris ses fonctions. Après le traditionnel dépôt de gerbe au monument aux morts, c’est dans les jardins du palais Lantivy qu’il a reçu la presse.

Le député européen, membre du PNC, maintient que » Valls marche dans les pas de Chevènement » et, en matière de langue, tourne le dos à ce qui se passe dans nombre de pays européens.

A en croire le linguiste, si la demande de coofficialité de la langue ne règle pas tous les problèmes, elle a permis d’affirmer un large consensus politique en Corse. Le véritable enjeu de l’avenir étant de créer des lieux d’emploi naturel du corse dans une vie quotidienne urbaine moderne.

(Julien Pernici – Alta Frequenza) – Lors d’un point presse donné ce lundi matin, le procureur de la République de Bastia Dominique Alzeari a fait le point concernant l’enquête sur la fusillade de Silvarecciu, où deux hommes ont été tués et deux autres blessés dont l’un très grièvement.

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – Christophe Mirmand a pris hier matin (lundi) ses fonctions de préfet de la Corse-du-Sud et de préfet de Corse, il devient donc le plus haut représentant de l’Etat dans l’île, et comme il est de coutume il rencontrait hier après-midi la presse régionale.

Les propos tenus par le ministre de l’Intérieur sur la violence en Corse et la coofficialité de la langue n’ont pas choqué la majorité des Corses, mais provoqué de nombreuses réactions politiques.

Alors que le corps du quatrième homme recherché à la suite de la fusillade du 3 juillet près du village de Silvarecciu (Haute-Corse), a été retrouvé trois jours après les faits non loin des lieux, les enquêteurs s’interrogent sur les circonstances qui ont fait deux morts et deux blessés.