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Que ressortira-t-il de la patiente et progressive réflexion menée à l’Assemblée de Corse depuis un an ?

U dibattitu nantu à a speculazione immubiliare in Corsica si sente dapoi decine è decine d’anni. Pudemu dunque ripiglià u prublema attualmente cù u presidente di l’assemblea, Paul Giacobbi, chì ci parla d’un statutu di residente.

(articles du 20 aout) On y voit un policier portant des coups de matraque au visage d’une femme et utilisant du gaz lacrymogène contre elle à Joué-les-Tours, près de Tours.La vidéo, posté sur Youtube, est titrée « honte à la police française ».

Avant la nouvelle session de l’assemblée de Corse des 25 et 26 avril, le conseiller territorial communiste Michel Stefani estime que « la réforme institutionnelle n’est pas la réponse aux maux de la Corse »

(publié le 19 aout, 10h40) « Paul Giacobbi, Président du Conseil Exécutif de l’Assemblée de Corse, a eu, conformément à sa mission, le bon sens d’enrichir et de prolonger le débat sur la notion de résidence pour tenter de contraindre la spéculation au reflux et limiter l’aliénation du sol insulaire ;

La langue corse, sa défense, sa promotion et son illustration ont provoqué, cet été, un véritable raz-de- marée dont les remous ne sont pas près de s’atténuer. Fort bien, mais cette langue que l’on continue de martyriser subit, dans la pratique, un immense déficit de locuteurs. Ils étaient, au début du siècle dernier quelque deux cents mille à utiliser la …

Quelle reconnaissance statutaire Des langues régionales en république ? Par Dominique Bucchini, président de l’assemblée de Corse. Le 17 mai dernier, l’Assemblée de Corse adoptait le projet de statut de co-officialité et de revitalisation de la langue corse. Il s’agit d’une date symbolique pour l’avenir de la langue corse.

L’agitation médiatique autour des questions de résidence et du droit à la propriété dans notre pays met en relief la haine et l’aveuglement des différents partisans du statu-quo colonial en Corse.

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – Une vaste fumisterie! C’est ainsi qu’Etienne Bastelica, président du groupe communiste et Front de Gauche de l’Assemblée de Corse qualifie le vaste débat qui ne va pas manquer de s’enflammer à propos du fameux statut de résident.

Pierre Chaubon et les nationalistes semblent bien décider à exiger un changement de la Constitution française avec cependant la quasi-certitude d’un échec.