actualités

(FRANCE 3 CORSE) L’humoriste a une nouvelle fois dérapé samedi 17 janvier dans « On n’est pas couché » sur France 2. En comparant les extrémistes corses à des terroristes, il s’est attiré les foudres de nombreux internautes (sans parler de ceux qui ne se sont pas exprimés) et aurait reçu des menaces de mort.  

A l’issue de la rencontre opposant l’OGC Nice au Sporting Club de Bastia (SCB) le 18 octobre 2014 (0/1), le gardien de but du SCB, Monsieur Leca, a exprimé  sa joie en brandissant au dessus de sa tête le drapeau corse.

(CorseMatin) Nouveau dérapage de Laurent Ruquier, samedi soir dans son émission On n’est pas couché sur France 2. Une liberté d’expression qui confond impertinence et indécence et soulève l’indignation sur l’île

(Frédéric Bertocchini – Alta Frequenza) – Un drapeau français a été brûlé ce week-end, afin d’être remplacé par un drapeau marocain. Les faits se sont déroulés à l’école des Jardins de l’Empereur à Ajaccio.

(CorseMatin) Après que les quatre pneus de la voiture de son frère Guy ont été crevés en septembre dernier, c’est sa maison, cette fois, qui a été fracturée et volontairement incendiée dans la nuit de mercredi à jeudi.

(CorseMatin) C’est la phrase que tout journaliste sensé ne pensait pas avoir à écrire un jour, et que tout syndicaliste lucide, tout militant des droits de l’Homme encore vert et frais n’aurait jamais imaginé lire à son tour.

(Frédéric Bertocchini – Alta Frequenza) – En 2011, Laurent Ruquier avait déjà démontré tout l’amour qu’il porte à la Corse, en considérant qu’il « y a des élus élus, des élus battus et des élus abattus » et que « pour la suppressions de postes sur l’île de Beauté, on ne fait pas mieux ».

(Corse Net Infos) Il n’est plus à un dérapage près sur la Corse. En Avril de l’année dernière, il avait ironisé sur l’assassinat du directeur général des services du département de la Haute-Corse. En Mars 2011, il avait, déjà, montré la Corse du doigt après l’assassinat d’un maire un soir d’élections, soulevant des concerts de protestation et des interventions auprès du …

25 000 personnes selon les organisateurs et la préfecture ont défilé en corse pour défendre en autre, la liberté d’expression, l’esprit « charlie » pour la mémoire des victimes des actions terroristes sur paris etc...

(CorseMatin) On a pris acte d’une menace nationale, on a indiqué clairement que le risque zéro n’existait pas. À cette position s’ajoute toutefois le sentiment que la Corse n’est pas en première ligne. Selon le gouvernement, le contexte correspond à la version standard « plus » du plan Vigipirate.