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(Corse Matin) Visiblement, on ne peut vraiment pas plaire à tout le monde. Alors que le Galeria Biker Bay s’apprêtait à commencer, l’office de tourisme de Galeria a été la cible de trois tirs, de calibre 12, d’après une source proche de l’enquête.

(Corse Matin) La compétition artificielle scellée par une frontière naturelle, de part et d’autre du col de Vizzavona, entre les deux villes de Corse, Ajaccio et Bastia – les citer dans cet ordre ou dans l’autre revient déjà à raviver le débat – ne suffisait pas.

(FRANCE 3 CORSE) Le retour du beau temps et les nombreux ponts du mois de mai qui se profilent donnent comme un avant-goût d’été. A Porto Vecchio, les premiers vacanciers sont arrivés. Ils privilegent les villas de locations aux structures touristiques plus classiques.

(Julien Pernici – Alta Frequenza) – L’émotion était des plus palpables autour de la stèle du souvenir au stade Armand-Cesari, 23 ans jour pour jour après la catastrophe de Furiani qui a emporté dix-huit vies et blessé 2 357 autres personnes.

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – Vives inquiétudes du STC de l’Hôpital d’Ajaccio, qui craint de voir le nouvel établissement naître sous de mauvais auspices. Selon le syndicat nationaliste, l’Agence Régionale de Santé affiche de plus en plus sa volonté de construire, sur le site du nouvel hôpital, une clinique privée.

(article hebdomadaire #FilRougeDeLaRédaction) Comme tous les ans, dans le fil rouge de la rédaction, un mois avant la commémoration, Corsicainfurmazione.org, publie l’article du site unità naziunale. Afin de se rappeler que depuis 23 ans, rien n’a été fait de la part de l’Etat français et des instances du football français. (dossier en ligne)

Je ne suis pas guérie de Furiani. J’étais au stade comme des milliers de Corses. Nous étions heureux depuis notre tribune ouest, toute une bande d’amis venus pour la fête.

(France3) Francetv info s’est entretenu avec le Collectif des victimes de la catastrophe de Furiani, qui demande l’interdiction des matchs de foot le jour anniversaire de l’accident qui avait fait 18 morts et plus de 2 300 blessés, le 5 mai 1992.

(France3Corse) Le 5 mai 1992, peu avant la demi-finale de la Coupe de France entre Bastia et Marseille, une tribune provisoire de 10.000 places du stade Furiani, érigée au mépris de nombreuses règles de sécurité, s’est effondrée, faisant 18 morts et  plus de 2.300 blessés. 

(Julien Pernici – Alta Frequenza) – Il y a vingt-trois ans, jour pour jour, ce qui devait être une fête devint l’un des drames les plus meurtriers de l’histoire de la Corse et le drame le plus meurtrier de l’histoire du sport en France.