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Avant la nouvelle session de l’assemblée de Corse des 25 et 26 avril, le conseiller territorial communiste Michel Stefani estime que « la réforme institutionnelle n’est pas la réponse aux maux de la Corse »

Il était fermement opposé au projet du Gouvernement. Maintenant que le scrutin binomal est devenu réalité, Jean-Jacques Panunzi, le président du conseil général de la Corse-du-Sud, fait, une fois encore, entendre sa voix.

En séance plénière – le 13 décembre 2012 -, le groupe Gauche Républicaine a souligné l’ambiguïté des propositions de l’Exécutif sur la coofficialité. Comment fondez-vous cette analyse ?

Les membres du mouvement « Une Nouvelle Corse » étaient réunis autour de leur leader Jean-Martin Mondoloni et de l’élue du groupe « Rassembler pour la Corse », Marie-Antoinette Santoni-Brunelli, ce jeudi après-midi à Ajaccio.

Jean-Martin Mondoloni en convient, la problématique de la coofficialité de la langue corse est « générationnelle ». C’est la raison pour laquelle, Marie-Antoinette Santoni-Brunelli qui représente Une nouvelle Corse à l’assemblée de Corse se positionnera en faveur de la coofficialité. Même si ce sera de manière critique. 

En Haute Corse,  la liste conduite par Jean Marc Venturi, président sortant, avec Joseph Colombani, président de la FDSEA, avait été réélue  en février dernier.

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – L’Assemblée de Corse examinera la semaine prochaine le fameux rapport relatif à ses propositions de statut pour la co-officialité et la revitalisation de la langue corse.

Une semaine avant la session de l’assemblée de Corse consacrée à la coofficialité, le conseiller territorial, président du groupe Corse social démocrate, également maire de Pietrosella, évoque l’actualité politique

Le statut de coofficialité de la langue corse, qui sera soumis au débat et au vote, jeudi 25 avril à l’Assemblée de Corse (CTC), n’en finit pas de provoquer passions et polémiques sur fond de manœuvres politiciennes.

(Michaël Andreani – Alta Frequenza) – La Corse, région « ultra-marine » ! C’est ce que préconise un collège de trois experts constitutionnalistes conduit par Guy Carcassone, juriste spécialiste du droit constitutionnel.