Valls Manuel

Le syndicaliste guadeloupéen Elie Domota estime que la venue de Manuel Valls aux Antilles est « du cinéma » et ne servira « à rien ».

(articles du 20 aout) On y voit un policier portant des coups de matraque au visage d’une femme et utilisant du gaz lacrymogène contre elle à Joué-les-Tours, près de Tours.La vidéo, posté sur Youtube, est titrée « honte à la police française ».

« Je veux dire à Monsieur Talamoni que la Corse c’est la France. Elle sera toujours la France » (Corse-Matin du 6 août 2013, en page « France », comme il se doit).

« Le ministre de l’intérieur, Manuel Vals, confronté au problème d’un très grand nombre d’homicides en Corse, s’est laissé allé à dire que « la violence est culturellement enracinée en Corse ». Cette déclaration a fortement ému la population insulaire. Mais il ne suffit pas de s’offusquer. Il faut dire pourquoi le ministre de l’intérieur commet un grave contre sens.

Le député UMP de la Corse-du-Sud, soutient le gouvernement dans sa lutte contre le grand banditisme, il maintient que Manuel Valls n’a pas « employé les bons mots » et craint que que cette lutte « tourne au procès généralisé contre la population corse ».

Tout en jugeant Valls « sincère et déterminé », le candidat à la mairie de Bastia.

Le conseiller général de Corse-du-Sud affirme qu’en matière de langue, Valls n’a fait que rappeler des évidences »

Le conseiller territorial, membre de l’Exécutif et candidat à la mairie de Bastia , affirme son soutien à Manuel Valls.

Le député européen, membre du PNC, maintient que » Valls marche dans les pas de Chevènement » et, en matière de langue, tourne le dos à ce qui se passe dans nombre de pays européens.

Les propos tenus par le ministre de l’Intérieur sur la violence en Corse et la coofficialité de la langue n’ont pas choqué la majorité des Corses, mais provoqué de nombreuses réactions politiques.