La SNCM fleuron de la marine marchande française, les 1500 salariés qui y travaillent, les dizaines d’entreprises sous-traitantes sont les otages d’une politique à courte vue du gouvernement et de l’Exécutif de la CTC l’un et l’autre soumis aux diktats ultralibéraux de la Commission européenne et à l’irresponsabilité des actionnaires indélicats Veolia Transdev.

L’ONU a critiqué mardi « l’usage apparemment excessif de la force » par les forces de sécurité israéliennes contre les Palestiniens en Cisjordanie et a demandé au gouvernement israélien de se pencher sur cette question.

Quelle légitimité peut avoir un pouvoir qui interpelle des travailleurs comme des voyous pour s’être révoltés contre des patrons qui eux n’encourent aucune poursuite malgré la gabegie dont ils sont responsables ?

(Corse Matin) La Corse devra s’efforcer de suivre les normes européennes qui entrent en vigueur s’agissant de la xylella fastidiosa. Pour ce faire, l’Etat veille au grain pour ainsi parer un nouvel orage en matière sanitaire

(Corse Matin) Selon le classement effectué par le magazine GQ du mois de novembre, l’avocat le plus puissant de France est Patrice Spinosi. 

(Corse Matin) Répondant à l’appel lancé par le Conseil national des barreaux, le bâtonnier de Bastia, Me Jean-Pierre Seffar a cessé toute désignation d’avocat au civil au titre de l’aide juridictionnelle et au pénal, il ne commettra plus d’office.

(Corse Matin) Emmanuelle de Gentili s’engouffre la dernière dans la course aux territoriales. 

(Corse Matin) Une constitution poussive des listes, une mandature courte essentiellement centrée sur la collectivité unique : malgré quelques étincelles ici et là, les moteurs ronronnent et les électeurs commencent à s’impatienter…

(Alta Frequenza) Disproportion. Tel était le mot qui revenait dans les bouches des membres du Rinnovu après la garde à vue de Michel et Nadia Terrachon pendant quarante-huit heures.

(Corse Matin) Pierre Marcellesi a eu vent du schéma qui sera présenté officiellement demain, jeudi, par le préfet dans le cadre de la réforme de la loi NOTRe et qui prévoit de couper littéralement l’Alta Rocca en deux