(article hebdomadaire #FilRougeDeLaRédaction) (article de 2002 réédité) Ce 19 mars 2002, Le candidat du pole républicain a été accueilli à Bastia tout d’abord puis à Ajaccio par des militants du mouvement national (indipendenza) hostiles à sa visite . La visite de l’ancien ministre de l’Intérieur apparaît comme « une provocation », « une agression » pour l’hebdomadaire nationaliste U Ribombu. Celui-ci répond: « Ne cédons pas aux campagnes …

La défense d’un peuple passe aussi par le respect de ses traditions. Celle des « pesci, crucette et campanili » tressés pour le dimanche des Rameaux est encore bien vivante en Corse.

« Dans le droit fil des organisations du Boxing Club Ajaccien et de son manager Petru Paoli, nous vous proposons une soirée placée sous l’emblème de la Squadra Corsa.

La Communauté de communes Aghja Nova (Canton Niolu Omessa) rejoint la longue liste des signataires d’une amnistie. (liste en lien, bas de page)

Convocation Réunion Associu Femu Fiumorbu Castellu Oriente, le 18/03/2016 à 18h00, Maison des Associations, Aléria

(Alcudina) Le conseil des sites examine ce mardi un projet de mouillage dans l’anse de Favone. La communauté des communes de la Côte des Nacres envisage d’organiser le mouillage estival pour 96 bateaux.

(CORSE MATIN) Le barreau de Bastia et son bâtonnier, Me Jean-Sébastien de Casalta, soutiennent la position de la Conférence des bâtonniers vis-à-vis du projet de loi antiterroriste et de la prolongation de l’état d’urgence qui a été adopté massivement mardi par l’Assemblée nationale et qui va passer, le 29 mars, devant le Sénat.

(Alta Frequenza) Si le conseil départemental de Haute-Corse s’est plutôt bien déroulé dans son ensemble, son début n’a pas montré la face la plus reluisante de la politique.

(Alta Frequenza) Si le conseil départemental de Haute-Corse s’est plutôt bien déroulé dans son ensemble, son début n’a pas montré la face la plus reluisante de la politique.

(FRANCE 3 CORSE) Le 3 mars dernier, le Président du Conseil exécutif de Corse annonçait découvrir avec surprise un passif de 104 millions d’euros dans les comptes de la CTC. Dès lors, une question est restée sans réponse : l’Etat aurait-il dû vérifier les comptes de la collectivité ?