(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – 46 contre 5 ! Si on peut se permettre il n’y a pas photo entre les partisans de l’inscription de la Corse dans la Constitution, porte entrouverte – peut-être – à une nouvelle réforme institutionnelle et les partisans inconditionnels du statu quo.

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – 46 contre 5 ! Si on peut se permettre il n’y a pas photo entre les partisans de l’inscription de la Corse dans la Constitution, porte entrouverte – peut-être – à une nouvelle réforme institutionnelle et les partisans inconditionnels du statu quo.

Il est le maître d’œuvre de la réforme institutionnelle, votée, vendredi matin, à l’Assemblée de Corse (CTC) à une écrasante majorité. Son travail et sa méthode ont été unanimement salués par ses pairs.

(29 septembre 2013 Michaël Andreani – Alta Frequenza) – Deuxième match à domicile consécutif ce dimanche pour l’AC Ajaccio, qui à réceptionné à 17 heures Montpellier.

Après l’adoption, à une écrasante majorité, vendredi matin, à l’Assemblée de Corse (CTC), du rapport sur la réforme institutionnelle qu’il a initiée, le président de l’Exécutif territorial, Paul Giacobbi livre, à Corse Net Infos, sa réaction et se dit confiant à propos des négociations avec le gouvernement.

(Maria Lanfranchi – Alta Frequenza) – Suite à l’adoption du rapport demandant l’inscription de la Corse dans la constitution par une grande majorité des élus de l’Assemblée de Corse, Simon Renucci, maire d’Ajaccio, estime que ce vote est à marquer d’une Pierre Blanche.

46 conseillers territoriaux contre 5 de gauche ont adopté le projet de réforme visant à inscrire la Corse dans la Constitution pour une plus grande décentralisation.

« C’est parce que le Vieux-Port de Bastia est très emblématique d’une situation paradoxale : un site magnifique, unique, et qui attend encore d’être mis en valeur », que François Tatti, candidat à l’élection municipale de Mars 2014, y a organisé samedi matin sa première réunion publique de stratégie.

On peut s’appeler Pasqualine et se faire appeler Aline par souci de modernité ou de mode tout court. En politique en revanche, cette envie de coup de jeune disparaît bien vite dès qu’il s’agit de montrer au peuple qu’on est réac et qu’on tient à le rester !