(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – Le coup de massue asséné par le Conseil constitutionnel, un quarteron de notables qui passe par-dessus le vote démocratique d’une assemblée nationale, va-t-il booster le projet global pour la Corse?

Le CAB, lanterne rouge du championnat de France de Ligue 2, n’entend pas s’éterniser, dans cette position. Le club présidé par Antoine Emmanuelli a enregistré dans le courant de la journée de Samedi l’accord de Stéphane Bahoken et espère enrôler dans la foulée deux autres éléments qui, il l’espère, lui permettront d’effectuer une deuxième partie de saison bien plus brillante …

Dans la nuit de samedi à dimanche quatre chalets ont été forcés sur le marché de Noël d’Ajaccio sur la place du diamant. Selon les commerçants, il y en aurait eu onze depuis le 25 décembre. Les chalets de bijoux ou encore de santons déplorent des vols.

Ils bougent, sortent, chantent et apportent la voix de l’amitié, du chant, du cœur, du secret, de la tradition et de la Corse. Les chanteurs et musiciens d’Alte Voce quittent volontiers leur île pour créer un son nouveau.

De nombreux joueurs vont donc quitter le club au mois de Janvier. Brandon Deville est le 1er d’une longue série. Ce jeune de 20 ans est prêté pour une durée de 6 mois au club belge de Westerloo qui évolue en 2ème division.

Porto-vecchio, ville touristique, n’échappe pas au phénomène de la délinquance générée par cette activité économique. Cambriolages, atteintes aux biens et aux personnes sont en progression à Porto-Vecchio selon l’hebdomadaire l’Express qui a récemment publié une enquête sur les « vrais chiffres de la délinquance ». 

La rumeur ajaccienne, qui tue plus sûrement parfois que les balles de gros calibre, annonçait qu’Anne-Marie Luciani renonçait à se présenter.  La raison ? Plusieurs de ses colistiers auraient obtenu des emplois municipaux et auraient donc fait défection.

(Maria Lanfranchi – alta Frequenza) – Après la decision du conseil constitutionnel concernant l’Arrêté miot (voir par ailleurs), Corsica Libera réagit. le mouvement conduit par Jean-Guy Talamoni estime que celle-ci  « est marquée par le mépris et l’a-nimosité anti-corse régnant sans partage au sein des élites admi-nistratives et politiques françaises ».

Après la cantonale de 2011, certains pensaient peut-être que Jean-Pierre Leccia allait lever le pied. Mais avec les 455 voix et 55,50 % des exprimés (274 voix pour le nationaliste modéré Jean-Baptiste Arena) obtenus lors de ces élections, le maire sortant repart volontiers en campagne.

Ainsi une fois encore les aspirations de la majorité des Corses, représentés par la quasi-majorité de leurs élus, sont méprisées par une instance qui se permet « à quelques-uns » de dicter sa loi au nom de la sacro-sainte unité jacobine et républicaine française.