(CORSE MATIN) Près d’un mois après les élections territoriales, le journal basqueNoticias de Alava revient sur le« changement historique en Corse », une île dont « la superficie est plus grande que la Communauté autonome basque mais avec seulement 322 000 habitants ».

(CORSE NET INFOS) La compagnie maritime publique corse, ce vœu si longtemps pieu des nationalistes, pourrait voir le jour d’ici à neuf mois et démarrer son activité dès octobre.

(Alcudina) Depuis plus de six mois la Corse s’enlise dans la crise des déchets.

(Alta Frequenza) La coupe est pleine! 

(Alta Frequenza) La coupe est pleine! C’est ce que pense le député-maire d’Ajaccio à propos du blocage du port de Marseille et de manière plus générale de la crise dans les transports maritimes

(Alta Frequenza) Comme vous pouvez le découvrir par ailleurs la colère gronde chez les socioprofessionnels de l’île et il faut être grand clerc pour savoir comment cette colère va se traduire. 

(Alta Frequenza) La collectivité Territoriale de Corse évidemment est sur le pont, sans jeu de mot, à propos du dossier des transports maritimes.  

(Alta Frequenza)  L’écrivain et cartographe Mikaël Bodlore-Penlaez, auteur de nombreux ouvrages dont l’« Atlas des nations sans État en Europe, peuples minoritaires en quête de reconnaissance »

(MEDIABASK) Plus de 180 élus du Pays Basque Nord et de l’Etat français appellent à participer à la manifestation du samedi 9 janvier à Bayonne, en faveur du processus de paix. La question des détenus basques est majeure selon eux et d’une seule voix, ces élus de tous bords, demandent que l’Etat français s’engage.

« Le blocus imposé au navire Stena Carrier, affrété par la compagnie Linea, est une atteinte intolérable à la libre activité d’entreprendre, principe instauré par Allarde durant la Révolution. Le Port de Marseille est aujourd’hui une zone de non-droit sur le territoire de la République.