Au moins c’est clair. Le Préfet ne fait que son boulot, appliquant les lois de la République… Après à chacun de voir.

Rinnovu apporte son soutien inconditionnel à Guillaume Amadei et Baptiste Maestracci, jeunes étudiants incarcérés à la prison de Borgu, respectivement en grève de la faim et en grève des plateaux repas.

Bernard Schmeltz, Préfet de Corse, est intervenu au sujet de la charte de l’emploi local de la CTC, pour rappeler l’intransigeance jacobine de l’État français sur une mesure qui tend vers la corsisation des emplois.

Pendant les 60 dernières années, la prison a été – et est toujours – un des principaux outils utilisés par les États pour conditionner ceux et celles qui souhaitent lutter pour la liberté d’Euskal Herria, additionné à deux conséquences que sont l’exil et la déportation, sans oublier la guerre sale et la torture.

A sezzione Corsica Libera Calvi-Balagna manda u so sustegnu à Guillaume Amadei, ghjovanu naziunalistu Balaninu incarceratu in Borgu da pocu è chì oghje hà decisu di mette si in patifame per dinunzià e so cundizione di detenzione vergugnose.

(26 mai 2017) A Cunsulta di a Ghjuventù Corsa porta u so sustegnu à Guillaume Amadei, ghjovanu studiente incarcetatu dapoi più di duie simane.

A Ghjuventù Indipendentista apporte son soutien fraternel à Guillaume Amadei, jeune nationaliste incarcéré il y a deux semaines, qui a entamé une grève de la faim depuis sa cellule à la prison de Borgu.

Quand il a été dit que cette institution n’est pas l’apanage de la seule Corse, qu’elle a été une adaptation à des conditions historiques économiques difficiles, on survole certes des caractéristiques importantes.

Rondinara : Deux associations de défense de l’environnement ont demandé mercredi 24 mai devant la cour d’appel de Bastia la démolition des deux villas construites illégalement sur le golfe de la Rondinara (Corse du Sud), appartenant au président du Paris Football Club, Pierre Feracci.

Sur Corse Matin : 40 000 arrivées en Corse en cinq ans. C’est le chiffre avancé par Michel Castellani au moment (du débat pour la législative organisée sur Bastia) où la température commençait à monter autour de la question des flux migratoires.