(Unità Naziunale – 12 février 2018 – 15h30) Après une assemblée générale ce dimanche, les étudiants corses ont décidé de débuter la grève générale à partir de ce lundi à l’Università di Corsica.

[Unità Naziunale – 12 février 2018 – 14h50] Le lycée Giocante, la cité technique de Montesoro, le lycée maritime et le lycée agricole de Borgo sont concernés par ces manifestations et blocages. (lien 1 lien 2 lien 2)

[Unità Naziunale – 12 février 2018 – 13h30] Core in Fronte apporte son total soutien aux agents hospitaliers du service de cardiologie d’Aiacciu ainsi qu’à la déléguée STC de l’IME L’Eveil de Biguglia, en lutte pour l’obtention de moyens supplémentaires et contre une hiérarchie sourde et éloignée des réalités de terrain.

(Unità Naziunale – 11 février 2018 – 17h00) S’il y a bien un concept que le mouvement national devait se garder de prendre à son compte au bout de 40 ans de lutte, c’est celui d' »hurler avec les loups ».

(Unità Naziunale – 11 février 2018 – 21h40) En ce moment, une polémique médiatique fait rage autour de commentaires parus sur Facebook.

(Unità Naziunale – 11 février 2018 – 21h00) Onze jeunes corses entament une grève de la faim, au sein de leur université, pour protester contre le blocage étatique.

(Unità Naziunale – 11 février 2018 – 15h00) Les trois syndicats organisent une réunion publique ce dimanche à 19h00 en faculté de droit, pour faire un point sur la situation, expliquer de nouvelles idées mais aussi la suite des actions initialement proposées.

(Unità Naziunale – 10 février 2018 – 19h00) Dans un communiqué publié aujourd’hui, le maire de Bastia, Pierre Savelli regrette le refus du Président Macron de s’entretenir à l’Hôtel de Ville avec le Maire et l’ensemble des élus.

(Unità Naziunale – 10 février 2018 – 18h35) Core In Fronte tenait hier matin à Ajaccio une conférence de presse. 

(Unità Naziunale – 10 février 2018 – 11h00) L’accession des nationalistes corses aux responsabilités, à une très large majorité, et la proclamation par leurs dirigeants de l’arrêt définitif de la violence clandestine qui l’avait précédée, offrait au Président de la République une l’occasion d’écrire un nouveau chapitre des relations entre la Corse et la République.