(Unità Naziunale – Lutte de masse – Publié le 26 avril 1984) Suite à la conférence de presse des Associi pour annoncer la création du STC, le Ribombu N° 56 du jeudi 26 avril 1984, quelques jours avant l’officialisation de la naissance du STC, publiait une interview :

Le Livre blanc 1984 (avril) Per a CORSICA NAZIONE

(Unità Naziunale, www.unita-naziunale.org – Corse – Lutte Armée – In Mimoria) Capu di Muru. Dans la nuit du 9 au 10 janvier 1984, Stefanu Cardi, militant du FLNC, était tué au cours d’une opération clandestine, par l’explosion prématurée de la charge qui visait la résidence du Dr. Aboulker. Son compagnon de lutte, Raphaël Bueno, était grièvement blessé.

(Unità Naziunale – Lutte armée – Publié le 5 janvier 2023) Le 5 Janvier 1983 : Dissolution du FLNC lors du décret du 5 Janvier 1983 « associations et groupements dissous en application de la loi du 10 janvier 1936 sur les groupes de combat et milices privées : Front de libération nationale de la Corse (FLNC). »

(Unità Naziunale – Lutte de masse – Publié le 10 juin 1982) La CUNSULTA DI I CUMITATI NAZIUNALISTI condamne l’attentat dont ont été victimes des travailleurs immigrés de la rue « Fesch » à Aiacciu ; la soi-disant revendication de cette provocation par une organisation utilisant un sigle corse ne trompe personne.

Le 26 octobre 1981, réouverture de l’Università di Corsica. (Plus d’information ici)

StoriaCorsa – Le 14 mai 1980 à 6h30?, une BMW longe l’avenue d’Iéna à Paris et lâche une rafale sur les gendarmes mobiles en faction devant l’ambassade d’Iran, avec un paquet d’explosif (grenade?) qui saute sur le trottoir. 

(Archive 1980 – Publié le 30 Avril 1980 dans le journal ARRITTI) Le 5 avril dernier (1980 NDLR)  l’UPC a adressé à Sa Sainteté le Pape JEAN PAUL II une lettre dans laquelle est exposée la situation actuelle du Peuple Corse. Cette lettre a été expédiée à Son Excellence le Nonce Apostolique à PARIS avec prière de la transmettre au …

Voici une lettre de Dominique Leca de Vico écrite en février 1980, le 27, au Procureur de la République d’Ajaccio, pour porter plainte contre l’inspecteur Demetrius Dragacci.

En mai 1977, le FLNC publiait le manifeste A LIBERTÀ O A MORTE.