(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – Tout le débat d’hier a donc porté sur le changement de « division » mais tout en restant dans la catégorie « article 72 », un exercice de corde raide qui était en passe de réunir hier soir.

Autre vote positif, celui de Femu A Corsica, avec une explication, là aussi fortement politique produite par Jean-Christophe Angelini. L’élu a parlé de la nécessité de placer la Corse dans un environnement apaisé, et qui puisse bénéficier des atouts nécessaires à son développement. 

(Maria Lanfranchi – Alta Frequenza) – Débat sur la reforme institutionnelle et inscription de la Corse dans la constitution : les échanges ont commencé hier matin (jeudi) à l’Assemblée de Corse.

L’assemblée de Corse a adopté vendredi un projet de réforme visant à mentionner l’île dans la Constitution pour lui accorder une plus grande décentralisation.

Après l’épizootie sévère de 2001, qui avait déjà montré de très sérieuses lacunes, le retour de la fièvre catarrhale révèle les lourdes carences de l’Etat  dans le domaine sanitaire agricole, qui est à ce jour de sa compétence exclusive.

La gendarmerie française a arrêté hier, jeudi, Patxi Segurola dans l’hôtel où il était confiné à Autun. Patxi avait épuisé en juillet tous les recours au terme d’une longue procédure contre son extradition.

Au lendemain des propos tenus par Julia Sanguinetti, secrétaire régionale d’AEIV (Auropa Eculugia I Verdi) concernant le rapport Chaubon qui sera prochainement débattu à l’Assemblée de Corse, les membres soussignés d’AEIV tiennent à se désolidariser de ses prises de position.

Dans un courrier adressé à Veolia Environnement le 24 septembre dernier, la Collectivité territoriale de Corse (CTC) rappelle à l’actionnaire de la SNCM ses obligations à prévoir le remboursement de plus de 200 millions d’euros d’aides considérées comme illégales par Bruxelles.

Vendredi 4 octobre, le président François Hollande présidera les cérémonies du 70e anniversaire de la Libération de la Corse, sur le haut lieu de mémoire de Ciniccia à Levie. Au programme présidentiel : dépôt de gerbes à 11 heures et discours.

Jamais des élections dans un pays voisin, et notamment en Allemagne, n’avaient autant focalisé l’attention. La crise des cinq dernières années a montré aux opinions publiques que les élections nationales n’ont plus seules la possibilité d’influer sur le sort de chacun. Et en s’intéressant à l’Allemagne, les citoyens se sont de facto intéressé à l’Europe.