(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – Après l’échange musclé avec le Premier ministre à l’Assemblée nationale – sur lequel il n’a pas voulu s’épancher – Laurent Marcangeli est revenu samedi matin à l’occasion d’une conférence de presse à une version disons plus « classique » de la campagne électorale.

Après 6 mois de travail, le rapport sur les conséquences de la décision du Conseil constitutionnel concernant les droits de succession en Corse a été publié le 11 octobre.

« Si nous nous adressons, aujourd’hui à vous, c’est parce que, en cette période de crise, nous avons besoin plus que jamais de soutien. La situation économique est, aujourd’hui, particulièrement préoccupante. Récession publicitaire, hausse du prix du papier, diminution du nombre de points de vente…

Mobilisés autour de leur section syndicale STC, les salariés de Castulucciu ont réussit à faire reculer l’A.R.S sur les menaces concernant l’avenir de leur outil de travail.

« Je suis candidat, oui, mais pas au suicide ». Telle a été la réponse du maire d’un petit village qui s’apprête à solliciter à nouveau les suffrages aux municipales de mars prochain. Notre question était peut-être un peu brutale.

Élue benjamine de l’Assemblée de Corse en mars 2010, membre du groupe Corsica Libera, militante nationaliste depuis ses années étudiantes dans le syndicat Ghjuventù Indipendentista. Doctorante en anthropologie, Josepha Giacometti était l’invitée de l’émission Cuntrastu dimanche soir sur @ViaStella.

(Michaël Andreani – Alta Frequenza) – Une délégation de représentants du monde agricole corse a été reçue hier (vendredi) à Paris par le ministre de l’Agriculture, Stéphane Le Foll.

Deux succès de librairie : « Les parrains corses » (Fayard 2009) -suivi de « la guerre des parrains corses » (2013) -de Jacques Follorou et « Razzia sur la Corse » d’Hélène Constanty (Fayard 2012)-Prix du livre corse 2012- décrivent avec une précision clinique les maux qui rongent la Corse (« mafias » d’hier et d’aujourd’hui, spéculations, dérives diverses…) …

Entre la mauvaise gestion supposée de la fièvre catarrhale et les inquiétudes suscitées par les discussions conduites en matière de politique agricole commune, la délégation conduite par Joseph Colombani était arrivée à Paris particulièrement remontée.