(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – Marie-Antoinette Santoni Brunelli, on le sait, figurera sur la liste de Laurent Marcangeli pour les élections municipales de mars prochain.

Les médias ont fait état récemment d’une déclaration d’un avocat affirmant que « la Cour administrative de Marseille infirme régulièrement les jugements du Tribunal administratif de Bastia en matière d’urbanisme. Il existe une sorte de jurisprudence opposée et contradictoire entre les deux juridictions. »

(Michaël Andreani – Alta Frequenza) – Les militants du STC, qui occupaient depuis le début de la semaine dernière les locaux de l’Agence Régionale de Santé à Ajaccio, dans le cadre du conflit à l’hôpital de Bonifacio, ont finalement décidé de lever le camp en milieu d’après-midi (lundi).

Déclaration de Michel Stefani suite à la rencontre gouvernement élus de la Corse. La rencontre entre la représentation élue de la Corse et le gouvernement, au ministère de la décentralisation et de la fonction publique, à permis d’établir une méthode de travail et un calendrier sur deux ans entre 2014 et 2016.

Un déplacement privé en Toscane a été l’occasion d’une rencontre amicale avec la nouvelle équipe municipale de Viareggio. Elue en juin dernier, elle partage le projet de retisser des liens entre nos deux cités jumelées dans les années 80.

Après les déclarations de Stéphane Sbraggia (Corse Matin du 26 novembre 2013).  L’UMP l’a dit, redit et publié : son objectif « national » est bien la reconquête de la mairie d’Ajaccio.

L’élu d’opposition qui figurera sur la liste de Laurent Marcangeli dresse un bilan de ses deux années au conseil municipal. Critique sur la politique de Simon Renucci, il évoque les projets d’une droite mobilisée

(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – Il n’y a pas eu de débarquement policier dans les locaux de l’Agence Régionale de Santé ce week-end comme il n’y a pas eu non plus de communiqué triomphaliste de fin de conflit.

A l’heure où partout dans le monde, écrasée par les puissances de l’argent et confrontée à la perte des idéaux, particulièrement en Europe et en France, la jeunesse désemparée baisse souvent les bras, se réfugiant trop souvent dans les paradis artificiels, privilégiant les “plaisirs éphémères” de la vie et les relations virtuelles de la télé-réalité voire du monde d’internet, en …

Quel que soit l’avenir institutionnel de la coofficialité, le débat qu’elle a suscité a soulevé une évidence. Les politiques ont leur rôle à jouer, certes, mais la pratique du corse doit prendre une dimension citoyenne – à travers ce que Ghjacumu Thiers nomme « un processus de normalisation »