(8 octobre 2016) Arrivée sur sa terre de Jean Pascal Cesari. Quelques photos sur ce lien (<– lien ici)
(4 octobre 2016) Après maintes demandes de « levée d’assignation à Résidence », Jean Pascal Cesari a enfin eu gain de cause, il peut rentrer en Corse pour se faire soigner auprès des siens. Il sera uniquement sous contrôle judiciaire.
Interpellé le 6 juin 2014, en préventive depuis cette date, originaire d’Ulmetu, retraité. Il avait été Assigné à résidence sur Paris dans la soirée du 25 au 26 septembre 2015 sous contrôle judiciaire
(29 juin 2016) Après avoir vu ses demandes refusées malgré une expertise indépendante déclarant que son état de santé était incompatible avec sa détention, Jean Pascal Cesari, 62 ans, interpellé le 6 juin 2014, en préventive depuis cette date, père d’un enfant, originaire d’Ulmetu et retraité avant son interpellation, a finalement été libéré sous contrôle judiciaire et assigné à résidence sur Paris en septembre 2015.
Son état de santé nécessite une hospitalisation, mais du fait de son assignation à résidence sur Paris, il se retrouve seul face à la maladie. Sa famille est en Corse et ses proches travaillent en Corse.
Fin juin 2016, le 29, lors d’une conférence de presse de Sulidarità et de la LDH Corsica, en compagnie des élus de Corsica Libera à L’assemblée de Corse dont le Président de l’Assemblée de Corse, Jean Guy Talamoni. Le cas de Jean Pascal Cesari est évoqué en raison de l’urgence de son état de santé, voici la vidéo :
Le 25 Septembre 2015 : à 20h30, le sexagénaire, interpellé à Ajaccio en juin 2014 dans le dossier des nuits bleues de 2012, a été remis en liberté pour raison de santé. Il est placé sous contrôle judiciaire et « assigné à résidence à Paris ». Il a été libéré à la suite d’une énième demande de remise en liberté. La denière avait été frappée d’un refus, les conseils avaient tout de même fait appel de cette décision… « La chambre de l’instruction a dit le contraire en le plaçant sous contrôle judiciaire, afin qu’il puisse suivre sereinement ses soins. Un expert a d’ailleurs assuré que son état de santé était incompatible avec une mesure de garde à vue »
En septembre 2015 : Sulidarità lance une alerte dans un de ces communiqués « Nous rappelons également le mauvais traitement subi par Jean-Pascal Cesari qui n’a pas accès aux soins, ce qui met en péril sa santé. »