(CORSE MATIN) Christophe Mirmand, préfet de Corse, sur le plateau de Cuntrastu a été interrogé par Roger Antech, Jean-Vitus Albertini et Jérôme Susini.
Des prisonniers, mais pas politiques, une construction dans la Constitution, mais pas une inscription, une élection historique, mais à la porte d’une indivision… Bref, un Cuntrastu hier avec le représentant de l’Etat.
Le nom de Jean-Guy Talamoni ne sera jamais prononcé. Celui de « M. Si-me-o-ni », oui. À la mode parisienne. Pas vraiment étonnante cette éviction de l’antépénultième de la part de Christophe Mirmand. Car, le préfet de Corse se doit, plus que jamais, de lisser la complexe mise en oeuvre de la représentation de l’État en terre insulaire, collectivité unique en vue.
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