(Corse Matin) Malosse prétend devoir sa sortie prématurée de la liste Giacobbi à un certain « Monsieur Viola », à son empirisme électoral, à ses méthodes qui n’ont rien de polissé.
Mais qui est donc ce Monsieur Viola ? Cet apothicaire électoral qui compte les voix quand d’autres ont tant de mal à avaler la pilule. Ce faiseur de roi qui bat et laboure la campagne quand certains de ses proches répugnent tellement à l’exercice. Ce conseiller du prince, son âme damnée enfin qui, d’un gant de fer, a la haute main sur les élus et l’administration territoriale. Henri Malosse a mis dans la lumière l’homme de l’ombre, le maire de Saint Pierre de Venaco, le conseiller du président Giacobbi, qu’un « Mì Mì Mì, Mimi » teinté de crainte, précède toujours dans les couloirs de la collectivité territoriale.
Malosse ne manquait pas de fond(s) européen, de pensée économique mais seulement de voix pour figurer dans la botte de l’équipe Giacobbi-Guidicelli. Face à Bartoli, face à Ottavy, et par ce seul prisme, l’ancien président du conseil économique et social européen reste un poids plume dans l’île. On ne saurait comparer en effet le pouvoir et la puissance de Propriano ou de Bastelicaccia, avec ceux de Bruxelles…
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