(Corse Matin) « Une palette répressive ». La CGT de Corse-du-Sud a dénoncé hier à Ajaccio le sort réservé aux syndicats, à l’occasion de la journée d’action nationale contre la discrimination et la criminalisation de l’activité syndicale.
« Avertissements, mises à pied, intimidations, affaires montées de toutes pièces, licenciements »… Et selon l’organisation, « c’est souvent dans le silence et l’indifférence générale que les patrons voyous cassent du syndicaliste avec l’accord tacite d’une justice à deux vitesses », a fustigé Jean-Michel Biondi, secrétaire général de la CGT de Corse-du-Sud.
Profitant de l’occasion pour annoncer la journée de mobilisation du 8 octobre, en faveur du pouvoir d’achat et d’une hausse des salaires, retraites, le syndicat a souhaité rappeler que « la Corse n’est pas épargnée par la violence patronale », en citant « l’affaire Mocchi qui a fait la une des médias » et représente « la partie émergée de l’iceberg ».
LIRE LA SUITE DIRECTEMENT SUR LE SITE DE CORSE MATIN
TDR CORSE MATIN