(Corse Matin) Le mode d’emploi du parfait militant nationaliste contient toute une série de recommandations qui font appel au coeur et aux tripes. Aimer sa terre à la folie, sauver sa langue maternelle, combattre le clientélisme, pester contre le pouvoir parisien, détester Frédéric Thiriez, etc.
Il faut aussi posséder une vertu cardinale, la patience. Dans tous les mouvements nationalistes, rien ne se décide sur un coup de tête. Derrière une idée, un projet, une initiative, il y a toujours un « cunsigliu », une « cunsulta », une « accolta », des cénacles de papotage sans fin, la dissection sémantique d’un mot comme si l’avenir de la Corse en dépendait.Après, chacun sa méthode, différente d’un courant à l’autre. On cogite beaucoup du côté de Corsica Libera mais on ne mégote jamais longtemps.
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