(Corse Matin) Le patron de la fédération régionale de l’hôtellerie de plein air et membre du conseil d’administration de l’ATC pointe du doigt les freins qui gênent, selon lui, le développement touristique de l’île. Propositions radicales à la clé.
Dominique Subrini, le président de la fédération régionale de l’hôtellerie de plein air, n’a jamais eu sa langue dans sa poche. Ce fin connaisseur du secteur touristique insulaire – il est aussi membre du conseil d’administration de l’agence du tourisme de la Corse – le prouve encore.
Dans son viseur : l’État, les élus, les chambres de commerce, mais aussi les gouvernances d’Air Corsica et de la SNCM, « tous coupables » de peser sur le développement du tourisme local. Donc sur celui de l’économie corse. En cause, selon lui, des transports mal adaptés, dont il faudrait revoir l’organisation de fond en comble.
LIRE LA SUITE DIRECTEMENT SUR LE SITE DE CORSE MATIN
TDR CORSE MATIN