(Corse Matin) Mercredi 5 août, une déflagration souffle une maison appartenant à un couple de Continentaux près de la plage de Grisgione, à San-Martino-di-Lota, porte d’entrée du Cap Corse. Sur place, un tag « FLNC » est retrouvé, peint à la bombe sur un mur de la villa encore debout.
Etrange : trois semaines auparavant, le mouvement clandestin vient de réaffirmer sa volonté de ne pas reprendre les armes. Intox ? Volonté de brouiller les pistes ? L’enquête est en tout cas confiée aux magistrats locaux et non aux spécialistes de la justice antiterroriste de la Galerie Saint- Eloi, à Paris.
Un constat : 2015 pourrait bien constituer une année-record, celle du plus faible nombre d’attentats commis en Corse. Un hasard ? Pas vraiment. Car, outre la décision du FLNC de mettre en sourdine la symphonie plastiqueuse, d’autres facteurs expliquent cet effondrement des attentats
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