(Corse Matin) La justice pas réputée pour sa rapidité, n’aime pas les périodes électorales qui retardent souvent le calendrier de l’audiencement.
Le double dossier de favoritisme visant la mairie d’Ajaccio et la chambre de commerce avait été ainsi renvoyé aux calendes grecques, quelques mois avant la campagne municipale de 2014. Les faits dataient eux-mêmes de 2008 et 2009. Une broutille…
Après l’annulation du scrutin de mars par le juge administratif, le procès avait été à nouveau repoussé. Il avait atterri finalement devant le tribunal ajaccien présidé par Catherine Le Lay, le 3 avril dernier après un long septennat d’attente.
Hier, la présidente a prononcé une condamnation et deux relaxes.
TDR CORSE MATIN