(CORSE MATIN) La préfecture de la Haute-Corse, n’étant pas à l’origine des calculs scientifiques mesurant la magnitude des séismes, affirme donc ne pas avoir commis d’erreur et avoir respecté la procédure au sujet de l’alerte tsunami enregistrée dans la soirée de vendredi.
Les forces de l’ordre suivaient semble-t-il les instructions de la préfecture de Haute-Corse, alertée de l’arrivée de possibles vagues de submersion après le séisme d’une magnitude de 6,1 qui s’est produit en fin de journée en Méditerranée, à l’est de l’île grecque de Crète.
La préfecture indique avoir joué son rôle en relayant comme toutes les autres autorités préfectorales du pourtour méditerranéen l’alerte lancée par le centre européen sismique à propos d’un séisme sous-marin, survenu ce vendredi soir à 20h20 dans les eaux grecques, d’une magnitude de 6.1 sur l’échelle de Richter et de sa résultante à savoir une montée des eaux d’une hauteur de 1 mètre prévue à 21h48. Selon la nomenclature, cette magnitude était susceptible d’entraîner des dégâts importants.
TDR CORSE MATIN