(CORSE MATIN) Lundi, le président de l’Assemblée de Corse était l’unique communiste présent à la séance de travail parisienne qui a posé les premiers jalons du projet de collectivité unique. Un processus auquel il est farouchement opposé
Le combat est perdu, vive la lutte. Les communistes, opposés au projet de collectivité unique, ont acté leur défaite par un boycott en refusant de participer à la première réunion organisée au ministère de la décentralisation et de la fonction publique.
Rien n’est, selon eux, bon à garder dans la réforme : ni le changement d’institution (pas une « priorité » en soi), ni sa mise en service par le biais d’un amendement et donc sans référendum ( un« déni de démocratie »).
TDR CORSE MATIN