(Alex Bertocchini – Alta Frequenza) – François Hollande, vous l’avez entendu dans notre journal de vendredi soir, ne se prononce pas pour une nouvelle étape institutionnelle en Corse. Il s’est exprimé en son nom propre mais a laissé plus ou moins entendre qu’il s’agissait là de la position officielle du Parti Socialiste, et ce dans la perspective des prochaines élections présidentielles. La Corse, qui dans le train de promesses électorales avait depuis des décennies un wagon quasi réservé, semble bien, cette fois-ci, devoir rester sur le quai. Si des réformes doivent se faire à propos de la Corse, il faudra d’abord qu’elles fassent l’unanimité sur l’île ! Le message a été on ne peut plus clair et a semble-t-il recueilli l’assentiment de nombreux socialistes. Socialistes, mais pas seulement, car de nombreux radicaux de gauche dit « Républicains », ont accompagné François Hollande au cours de sa visite.
Ecoutons Paul-Marie Bartoli, président de l’Office des Transports, sur cette question délicate.
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