(CorseMatin) L’ancien maire poursuit les négociations pour la constitution de sa liste. L’accord avec les communistes est en passe d’être scellé mais l’on annonce une ouverture à droite. En attendant les nationalistes
Pas un jour sans d’âpres discussions. Dans le camp du pédiatre Simon Renucci, on est habitué aux accouchements dans la douleur pour la constitution des listes. Comme lors de la précédente campagne, discussions et négociations rythment un numéro d’équilibriste entrepris par l’ancien maire pour un « large rassemblement » autour de son nom.
Communistes, CSD, socialistes, radicaux, écologistes, nationalistes. Autant de sensibilités avec lesquelles il faut composer, autant d’ambitions qu’il faut souvent tempérer. Le tout avant même d’évoquer l’ouverture significative à droite et la perspective d’un contrat de mandature qui pourrait être scellé avec les nationalistes pour le second tour.
Le +
DÉMENTI CGE-PME
Suite à l’article paru dans les colonnes de Corse-Matin le 26 Novembre, intitulé « Le marathon de Simon Renucci pour une liste contrastée », et dans lequel il était fait mention de négociations entre Jean-André Miniconi et la liste de l’ancien maire d’Ajaccio, la CGPME Corsica tient à apporter un démenti formel aux propos faisant allégation d’une telle alliance potentielle.
Il était également fait mention d’une affiliation entre la CGPME Corsica et le parti Femu a Corsica, ce qui est également faux.
La CGPME Corsica est une organisation patronale qui n’a pour seule vocation que la défense des entreprises corses et de leurs salariés. Elle réfléchit également avec toutes ses branches professionnelles au développement économique de la Corse et se veut être une force de proposition auprès de tous les partis politiques en la matière.