Laurent Marcangeli et sa majorité avaient commencé à imposer leur empreinte à la mairie en démontant souvent ce que Simon Renucci avait fondé. Retour sur un fragment de mandat interrompu
Sept mois. L’opposition l’a dit elle-même à plusieurs reprises : « On ne peut pas juger une mandature, quelle qu’elle soit, au bout de sept mois d’exercice. »Tout juste le temps d’entrevoir une patte, une ligne directrice censée guider une mandature avec ses projets, sa vision. Et c’est déjà beaucoup. Sept mois, soit 214 jours. C’est déjà 100 de plus qu’un certain Napoléon revenu de l’île d’Elbe avant Waterloo.
De quoi jeter un regard furtif sur quelques décisions prises par Laurent Marcangeli et sa majorité pour Ajaccio dont certaines risquent d’impacter – positivement ou négativement, chacun appréciera – l’avenir de la Ville.