Ses compositions numériques sont le résultat d’une combinaison d’images de scanner, analogiques, de vidéos et de synthèse. Dans certaines oeuvres, l’image fractale apparaît à travers l’infiniment grand et l’infiniment petit.
De même que la représentation de l’infini n’est qu’une illusion, en resserrant l’espace dans une direction donnée jusqu’à atteindre la limite de l’infiniment petit, on représente l’infiniment grand, c’est le principe d’ornographie. « Ma sensibilité baroque me pousse vers cette complexité » confie Yvan Rebyl, qui abandonne la peinture en 1990.
De cette surcharge d’images apparaît un chaos qui laisse entrevoir de nombreux mondes, voire de nombreux univers. « Les mathématiques ordonnent les lois de la physique qui ordonnent à leur tour le monde » affirme-t-il. Un questionnement qui (pour) suit l’humanité depuis longtemps s’impose souvent à lui : y aurait-il donc une harmonie préétablie ?
Du 18 mars au 4 avril, à l’espace Diamant, à Ajaccio
Article publié le 31 mars 2014, à lire ci dessous :
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Revue de Presse et suite de l’article :
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