Invité ce dimanche de l’émission Cuntrastu, Bernard Squarcini, l’ancien grand patron du renseignement français de 2008 à 2012, aujourd’hui préfet hors cadre, a glissé sur les sujets brûlants de Corse et d’ailleurs
Dans la chaîne alimentaire comme dans le renseignement, le squale est au sommet de la pyramide. Il a donc fallu à Jean-Vitus Albertini (France 3 Corse Via Stella), Roger Antech (Corse-Matin) et Alexandre Sanguinetti (RCFM) naviguer en eaux troubles pour taquiner l’ex gros poisson du contre-espionnage qu’est Bernard Squarcini.
Aujourd’hui préfet hors cadre et consultant hors pair à son compte, le flic corse qui fut l’oreille du président Sarkozy, débranché à l’arrivée de François Hollande, est arrivé à la station ajaccienne du service public de l’audiovisuel flanqué d’un autre ancien flic qui était son oreille dans l’île pendant l’affaire de la SMS.
Lui aussi reconverti en consultant. Un métier d’avenir pour un espion à la retraite qui sait mettre à profit son passé. « Quand on est serviteur de l’État, on continue toujours à le servir, mais sous d’autres manières », glisse-t-il dans la coulisse. Avant de gagner le plateau, Bernard Squarcini évoque à peine son dernier ouvrage, « Renseignements français, nouveaux enjeux » (Ellipses, 2013), dont il dit ignorer les ventes.
La semaine dernière, ce n’est pas pour la promotion de son bouquin qu’il avait fait parler de lui.
Article publié le 24 février 2014, à lire ci dessous
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by @Lazezu
Revue de Presse et suite de l’article :
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