Le candidat de la liste PRG-PC aux municipales assume le bilan familial mais revendique son libre arbitre. Son goût pour la politique ne l’a pas détourné de ses hobbies : l’histoire, l’archéologie et la linguistique
On avait pensé à « Jean- Crucien » ou « Jean-Cyprien ». C’est « Jean » tout court que l’on porte sur les fonts baptismaux de l’église Saint-Jean-Baptiste, à Bastia, peu après sa naissance, à Paris, le 8 juillet 1964.
Une adresse dans le XVe, une autre, boulevard de Gaulle, et un berceau familial, Sainte-Lucie-de-Mercurio, mais surtout un immense terrain de jeux, la place Saint- Nicolas, où l’on ne craint pas de braver les interdits : les parties de foot jusqu’à la nuit tombée derrière le monument aux morts, et les courses poursuites à vélo… «avec les policiers municipaux aux trousses ». À deux pas des « Cycles Nonza », rue de l’Opéra, où tout incident technique trouvait sa solution rustine.
« Une grande liberté »
En ce temps-là, c’était les cousins et les copains d’abord, les baraques à bonbons, les glaces de Gino ou de Raugi, et les escapades en petits groupes derrière la gare, à l’abri des regards.
Article publié le 14 février 2014 à lire ci dessous :
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