Le rapport Camdessus (directeur général du FMI), commandé par le ministre des finances Nicolas Sarkozy en 2004 ; le rapport Attali, commandé par le Président Sarkozy en 2008 ; le rapport Gallois commandé par le Président Hollande en 2012, tous préconisaient un certain nombre de mesures pour redresser les finances du pays.
Chacun recommandait notamment de maîtriser l’endettement du pays, tant la dette était (et demeure) en train de s’alourdir. Comme le révèlent les chiffres de l’INSEE, alors que le montant de la dettereprésentait 21 € pour 100 € de richesse produite en 1980, il est passé à 40 € en 1992 puis à 64 € en 2006, pour être à 90 € toujours pour 100 € de richesse produite en 2012. C’est le fameux ratio DETTE/PIB qui permet d’estimer l’importance de la dette par rapport à la production de richesse. Il révèle que la France a maintenu son développement en sur-utilisant l’emprunt : les économistes disent que la France a été « élevée au biberon de la dette ».
La Cour des Comptes vient, ce jeudi 9 janvier 2013, de souligner une fois de plus le niveau élevé de la dette et recommande de réaliser certaines économies (qui ne s’appliquent pas qu’à l’Etat !) dans les dépenses publiques, afin d’y remédier.
Mais toutes ces recommandations ont du échapper à l’exécutif municipal de Portivechju.
Suite du dossier sur le blog ANGELINI JEAN CHRISTOPHE
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