Le leader d’Inseme per Bastia répond aux récentes critiques qui visent sa démarche et évoque avec son équipe les temps forts de sa campagne avec le projet économique qu’il dévoilera en janvier
L’année se termine mais la campagne pour l’élection municipale ne connaît pas de trêve. Face aux récentes critiques qui ont visé sa démarche, Gilles Simeoni ne pouvait rester impassible. « Quand on entend dire que nous ne serions pas capables de gérer la mairie de Bastia, c’est aberrant. Le travail que nous avons mené dans les rangs de l’opposition au conseil municipal et sur le terrain chaque jour où nous impliquons les citoyens dans notre projet prouve tout le contraire ! Dans notre équipe, il y a non seulement des gens compétents tels que des chefs d’entreprises ou des hauts fonctionnaires mais aussi des personnes d’origines sociales différentes. Notre diversité fait notre richesse. Je crois à l’intelligence collective, elle dégage des solutions efficaces ».
« Des propos indignes et irresponsables »
Une équipe dans laquelle figurent notamment Didier Grassi fonctionnaire et responsable du collectif du 5 mai, Joseph Turchini, professeur de langue corse, Paul Tieri employé de banque, Anne Avenoso directrice adjointe à la Poste ou l’avocate Linda Piperi. Tous partagent la même vision des choses : « Inseme est la seule alternative qui permette d’offrir aux Bastiais le changement qu’ils attendent. La démarche de démocratie participative, l’ouverture sont des valeurs que nous partageons et qui fondent le socle du projet que nous avons choisi de défendre ».
Une équipe qui se dit profondément outrée par les propos tenus récemment par Jean Zuccarelli qui indiquait « ne pas vouloir de cagoules à la mairie de Bastia »ou encore « Inseme ça sonne fora ».
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