Les nouvelles Obligations de service public (OSP) adoptées, vendredi, par l’Assemblée de Corse (CTC) et qui prendront effet au 1er janvier 2014, sont un compromis à l’arraché entre les contraintes judiciaires et la volonté de l’Exécutif de sauvegarder le système actuel de desserte maritime. Elles sont, néanmoins, susceptibles d’être, de nouveau, attaquées en justice. Le président de l’Office des Transports (OTC), Paul-Marie Bartoli, exprime, à Corse Net Infos, son agacement devant la remise en cause perpétuelle des décisions votées par la CTC.
– Vous avez dit, lors du débat, que les nouvelles OSP votées ne vous convenaient pas. Pourquoi ?
– Les OSP sont une nécessité. Elles viennent en complément du dispositif de Délégation de service public (DSP) et complètent l’architecture du service maritime. C’est vrai ! Celles, que nous venons de voter, ne nous conviennent pas, mais nous sommes obligés de tenir compte du jugement du Tribunal administratif de Bastia. Nous voulons, à tous prix, éviter un nouveau recours. C’est la raison pour laquelle nous n’avons pas pu imposer des tarifs plancher pour Toulon et Nice.
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