«Le contexte politique n’influe pas dans l’action de la justice». C’est ce qu’a dit le préfet de Corse dimanche soir dans l’émission Cuntrastu. Des arrestations aux discussions avec l’Etat, en passant par la réforme des institutions, Christophe Mirmand a décrypté l’actualité
Il est sur le pont depuis cinq mois. Discret et pondéré depuis sa nomination, le préfet Christophe Mirmand participait hier soir à son premier grand rendez-vous médiatique sur le plateau de France 3 Corse.
Interrogé par Jean-Vitus Albertini (France 3 Corse ViaStella), Roger Antech (Corse-Matin) et Patrick Vinciguerra (RCFM), le représentant de l’État a jeté un bref regard dans le rétroviseur insulaire. « Cinq mois c’est court pour comprendre l’île… Depuis juillet, je suis en immersion, j’appréhende la singularité de la Corse, je découvre ses problématiques, je noue des contacts. Ce que l’on apprend dans les livres est peu de chose par rapport à ce que l’on apprend en étant directement en contact avec le terrain », assure le haut fonctionnaire.
Depuis son arrivée, Christophe Mirmand a été frappé par deux choses : « La singularité îlienne qui induit un rapport particulier avec l’extérieur » et les Corses « qui aiment passionnément le débat public ».
Partagé entre les problématiques classiques que l’on retrouve dans le métier du représentant de l’État et la nécessité de s’activer dans un contexte particulier, Christophe Mirmand a passé en revue les grands sujets d’actualité.
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by @Lazezu
Revue de Presse et suite de l’article :
Corsica Infurmazione: l’information de la Corse, des Réseaux sociaux et des Blogs politiques [Plateforme Unità Naziunale]