Dans un article (ci dessous) nous apprenons que les « riches étrangers » en Corse, peuvent trouver, leur bonheur dans l’immobilier de luxe… Et si c’est trop cher, où qu’il faut trop payer (sic), ils partent par paquet de 5000 par an… Pendant que le frigo des corses se vident, l’immobilier de luxe lui, remplit ses caisses. In Semtex Veritas ?
L’article : Corse – les biens d’exception partent à des prix élevés
Le marché a beau être en crise, l’immobilier corse de luxe parvient tout de même à tirer son épingle du jeu. Les biens d’exception se négocient des sommes élevées ! C’est particulièrement le cas à Calvi ou Porto-Vecchio, où la jet-set fait flamber le prix des villas de luxe. Si le phénomène reste plus modéré à Ajaccio, certaines propriétés haut-de-gamme se vendent dans ce secteur de l’île également très chères.
Le « juste prix » à Ajaccio
Le président de la Fnaim, Pierre-Paul Carette, note qu’un palier a été atteint depuis le début de la crise. « Il semble qu’il y ait désormais un « juste prix » à ne pas dépasser même auprès des personnes fortunées, » déclare-t-il à Corse Matin. Le marché serait très actif pour les biens valant jusqu’à 1 million d’euros, voire même exceptionnellement 2 millions d’euros. Au-delà, les acquéreurs avec de tels moyens se font rares dans la région d’Ajaccio.
Le cadre fiscal fait fuir les acheteurs
Bien que la crise épargne l’immobilier de luxe corse, un autre facteur provoque l’attentisme des acheteurs fortunés. L’instabilité et le durcissement des conditions fiscales françaises ont poussé environ 5.000 personnes à quitter la Corse en 2012, d’après les explications d’un notaire d’Ajaccio.
Publié par Sarah Léon
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