C’est l’une des vitrines naturelles les plus emblématiques de la Corse. Une vitrine créée en 1970, englobant 145 communes sur 350 000 hectares, avec un budget de fonctionnement de 7 millions d’euros et un effectif de 110 agents.
C’est aussi l’un des chemins de grande randonnée parmi les plus prisés au monde, le GR20, d’autant plus réputé qu’il fait suer. Au sens premier du terme. Entre mer et montagne, le Parc naturel régional de Corse s’attelle, depuis des années, à tracer son chemin. Poser des cairns. Parfois, déblayer la route et se protéger des risques d’éboulements intempestifs. Faire face à des critiques rugueuses. L’outil s’est ainsi, récemment, fait retoquer sur certains dysfonctionnements, financiers notamment, pointés par la chambre régionale des comptes.
Hier soir, dans le cadre du magazine Cuntrastu, proposé sur France 3 ViaStella, Jean-Luc Chiappini, le patron du PNRC – également maire de Letia et président de la communauté de communes des Deux-Sorru – n’y est pas allé par quatre sentiers. Répondant aux questions de Jean-Vitus Albertini, Roger Antech et Alexandre Sanguinetti, il n’a pas choisi d’esquiver ou de flâner. Plutôt de mettre ses arguments sur la table et de les développer, quitte à balayer, à certains moments, devant sa porte. Mais dans l’ensemble, il s’est plutôt « promené » au gré de l’exercice. Débat sac au dos. Sans pause casse-croûte.
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