Bouclé au début de l’année universitaire, le rapport de l’agence d’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur est partagé entre bons et mauvais points. Mais le campus le lui rend bien.
Leurs allées et venues ont été incessantes durant toute l’année 2011-2012, suscitant souvent crainte et appréhension au sein de la communauté universitaire. Les émissaires de l’agence d’évaluation de la recherche et de l’enseignement supérieur ont fait le job jusqu’au bout, à savoir jusqu’à la rédaction d’un rapport cosigné par le binôme président-directeur.
L’université de Corse a pris connaissance peu après la rentrée d’un document désormais public, lequel énumère ses points forts. Il parle d’une « université dynamique en phase avec les intérêts de son territoire, tant en recherche qu’en formation, porteuse de projets fédérateurs »
.Il souligne la « priorité affichée de prise en compte de l’insertion professionnelle des étudiants »,mais ne manque pas de donner sa liste des points faibles. Et dans ce registre, l’Aeres classe l’attractivité « tant en recherche qu’en formation »,l’offre de formation « fragilisée »,les relations internationales « aux résultats limités ».
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