En mémoire des tragiques évènements de Furiani, le 5 mai 1992, Noël Le Graët, le président de la Fédération Française de Football (FFF), a annoncé qu’on ne disputerait plus de finale de Coupe de France ou de Coupe de la Ligue le 5 mai. En Corse, beaucoup voient là une demi-mesure. On aurait pu aller bien plus loin.
Avec ses 18 morts et ses 2 300 blessés, le drame de Furiani reste le drame humain le plus terrible du football français. Dès lors, faut-il aller plus loin, intervenir encore auprès de la fédération et « geler » cette date du 5 mai en faisant en sorte qu’aucun match ne s’y joue? Faut-il au contraire, étant donné le calendrier surchargé et les contraintes de diffusion, passer là dessus une bonne fois pour toutes? Le débat est posé.
#Corse – « 21 ans et toujours aucun respect pour les victimes de Furiani »
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