Michel Stefani répond à Jean-Jacques Panunzi à propos de la polémique sur la motion contre la violence et justifie les prises de position de son groupe à l’assemblée de Corse.
La droite a quitté l’hémicycle sans voter la motion contre la violence, après avoir fustigé votre amendement. Que s’est-il passé ?
La droite voulait une condamnation des attentats et des assassinats sans reconnaître l’exigence de mettre en œuvre un nouveau type d’aménagement du territoire et de développement économique.
Cela est indispensable pour endiguer la dérive affairiste et mafieuse, lutter contre la spéculation immobilière, la cherté de la vie et les bas salaires, la précarité et la pauvreté, la pénurie de logements sociaux…
Jean-Jacques Panunzi dit que votre amendement dénaturait sa motion…
Nous n’avons fait que reprendre ses considérants et affirmer, non seulement la condamnation des attentats et des assassinats, mais aussi une opposition forte à la mise en cause du droit de grève et à l’intimidation violente contre les organisations syndicales et les grévistes. Tout cela dans l’esprit du travail de Dominique Bucchini, pour appeler les forces vives à se mobiliser dans un sursaut citoyen conforme aux valeurs et principes républicains.
Corsica Infurmazione, l’information Corse, et des Blogs politiques
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