Le dispositif mis en place à l’échelle nationale sera relayé en Corse. Avec pour le territoire insulaire, une enveloppe de 9,5 M€ et des publics ciblés sur la base de secteurs prioritaires. Explications.
Recherche d’emploi. Derrière ces deux mots, pour les demandeurs, au mieux l’espoir de jours meilleurs. Souvent l’angoisse d’un quotidien où la moindre dépense est scrutée à la loupe.
Les jeunes sont parmi les publics les plus touchés. C’est pour eux que le dispositif des emplois d’avenir a été pensé. Avec une mise en place effective à l’échelle nationale et relayé sur le territoire insulaire bien évidemment.
Principe, mode opératoire et application sur le terrain ont été présentés par le préfet de Corse, Patrick Strzoda. Ce dernier était entouré d’Hervé Belmont en sa qualité de directeur de la Dirreccte – direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi – et de commissaire au redressement productif. Et de Jean Zuccarelli, président de l’Adec et représentant la collectivité territoriale de Corse. Car, c’est avec l’aide de la CTC que le préfet va désigner les secteurs d’activité relevant de l’économie marchande.
Secteur non marchand et entreprises privées
Premiers intéressés, les jeunes donc, âgés de 16 à 25 ans – ou jusqu’à 30 ans pour les travailleurs handicapés – peu ou pas diplômés et à la recherche d’un emploi. À titre exceptionnel, les jeunes résidant dans une zone urbaine sensible (ZUS), une zone de revitalisation rurale (ZRR), peuvent aussi y accéder jusqu’au niveau bac + 3, s’ils sont à la recherche d’un emploi depuis plus d’un an.
Corsica Infurmazione, L’information Corse sur Corse Matin
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