Une guerre des territoires, c’est le mobile avancé par les enquêteurs dans le procès Federicci.
LE PROCES EN APPEL D’ANGE TOUSSAINT FEDERICCI DEVANT LA COUR D’ASSISES DU VAR.
IL a débuté hier à Draguignan sous haute surveillance, Ange Toussaint Federicci condamné en première instance à 28 ans de réclusion criminelle est soupçonné d’avoir pris part à l’assassinat, le 4 Avril 2006 de Farid Berrhama, caïd marseillais et de deux de ses lieutenants.
Ce soir là, ATF comme le surnomme les policiers dans le dossier avait été blessé par balle au genou et confondu quelques mois plus tard par son ADB alors qu’il avait été opéré à la clinique de Clairval à Marseille sous une fausse identité.
Hier ce sont les enquêteurs qui se sont succédé à la barre, ils ont décrit le contexte, une guerre des gangs dans le milieu pour tenter de reprendre le contrôle de machine à sous dans le secteur de l’étang le Berre. Berhama était présenté comme l’assassin de Roch Colombani figure du milieu corso-marseillais et la vengeance est venue à travers la tuerie des marronnier.
Une thèse que défend l’accusation tandis que du côté de la défense on estime que ce mobile ne tient pas. L’audience reprendra ce matin à 9h avec les nouvelles auditions de témoins dont le corps médical de la clinique de Clairval.
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