Observateur privilégié des maux de la région, Jean-Marc Cresp est candidat pour faire vivre les valeurs du Parti Radical Valoisien.
Quel est le sens de votre candidature ?
J’ai exercé durant 35 ans une médecine particulière. De par mon engagement personnel au service de la population je suis devenu un observateur privilégié des maux de notre région. J’ai pu mesurer combien la souffrance de chacun correspondait à la souffrance de mon île.
La Corse souffre de difficultés économiques, sociétales, de dérives diverses et les remèdes ne sont pas toujours bien dosés. C’est souvent la douche écossaise. J’ai le sentiment que nous avons abandonné notre destin à des hommes politiques loin de nos préoccupations quotidiennes. Depuis 10 ans, je suis donc impliqué en politique et, à travers le Parti Radical Valoisien, j’ai souhaité m’engager au service des autres. Je veux mettre ma fraîcheur politique, mon optimisme au service de ce mandat.
Vous êtes médecin psychiatre, quels sont les maux dont souffre la politique ?
L’immobilisme, le clanisme, les divisions, les contradictions, les paroles en l’air et les actions inadaptées…
Il faut régénérer la classe politique. Offrir un visage rénové de la fonction de député. Je veux être un député neuf sur un territoire vivant. Considérant le rôle de député comme un travail à temps plein, je souhaite rompre avec le cumul des mandats.
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