Le candidat du Front de gauche qui veut redonner espoir « à tous ceux qui souffrent » met tout en oeuvre pour convaincre et élargir son électorat.
Quel est votre état d’esprit à la veille du premier tour ?
Offensif. D’autant plus que beaucoup d’électeurs sont indécis et que le risque d’abstention est là. J’ai mené campagne dans les entreprises, au contact des salariés, mais aussi dans les villages et les quartiers. C’est cette Corse qui travaille et revendique, que nous voulons porter à l’Assemblée nationale.
Avez-vous bénéficié de l’effet Jean-Luc Mélenchon qui a capté un électorat plus large que celui du PCF ?
On a reconquis un électorat populaire ce qui signifie qu’il n’est pas éternellement acquis aux idées dangereuses du FN.
Notre démarche citoyenne démontre que ce n’est pas l’étranger qui est responsable de nos difficultés mais le système financier auquel on s’attaque.
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